Apprendre de personnes militantes du Pérou et du Sénégal

De Le Hub
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Cet événement a été organisé dans le cadre d'une collaboration avec OXFAM-Québec

Personnes invitées

Noemie Reyes est activiste pour la justice climatique et membre de Viernes por el Futuro Perú (VFP) et Actua.pe. VFP est un organisme pour la conservation de l’environnement qui œuvre à la construction d’un mouvement national et latino-américain contre la crise climatique.

Lamine Mamadou Diagne est directeur exécutif de l'AJE - Action pour la justice environnementale, une association nationale de défense des intérêts écologiques des communautés face aux dommages environnementaux active au Sénégal.
Jorge Castillo est ingénieur environnemental, membre de Red Interquorum Uyacali, une organisation œuvrant en renforcement de la démocratie, des droits humains et de la durabilité environnementale, avec une emphase sur la participation et l’empowerment jeunesse. Ils sont actifs en Amazonie péruvienne.

Quels sont des apprentissages tirés de ton implication pour la justice climatique?

Noemie Reyes

  • L’importance d’avoir de l’empathie et de l’ouverture aux autres (notamment les personnes militantes avec des perspectives différentes des nôtres)
  • La lutte est/doit être intersectionnelle. Sans quoi, nous ne pourrons pas parler d’une même voix.


Lamine Mamadou Diagne

  • La nécessité d’une forte mobilisation qui inclue tout le monde. Donc, l’importance d’inclure les autres dans la lutte pour la justice climatique
  • L’importance de renforcer les capacités des communautés affectées par les injustices climatiques (notamment par des victoires légales)
  • Il faut prendre en compte les préoccupations des communautés pour que les personnes s’approprient la lutte


Jorge Castillo

  • La justice climatique nous affecte toutes et tous. Toutes les luttes y sont connectées. Il faut agir de façon intersectionnelle.
  • L’importance de l’empathie dans le travail militant.