« Anti-oppression » : différence entre les versions
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«''Pratiquer [un] travail d''''anti-oppression''' [...], ce n'est pas seulement se confronter à des exemples individuels de sectarisme ou à des exemples sociétaux, c'est aussi se confronter à nous-mêmes et à nos propres rôles de pouvoir et d'oppression dans nos communautés et dans le contexte général ''» <ref>Stephanie Jeremie, La Forge</ref> . | «''Pratiquer [un] travail d''''anti-oppression''' [...], ce n'est pas seulement se confronter à des exemples individuels de sectarisme ou à des exemples sociétaux, c'est aussi se confronter à nous-mêmes et à nos propres rôles de pouvoir et d'oppression dans nos communautés et dans le contexte général ''» <ref>Stephanie Jeremie, La Forge</ref> . L'anti-oppression comprend la déconstruction des idées oppresives de la culture dominante qu'on a internalisées (sexisme, racisme, capacitisme, classisme, etc.). | ||
De par les oppressions perpétuées par ces groupes (consciemment ou non), toutes les personnes ayant côtoyé des groupes dominants ont des biais racistes, coloniaux, sexistes, ... | De par les oppressions perpétuées par ces groupes (consciemment ou non), toutes les personnes ayant côtoyé des groupes dominants ont des biais racistes, coloniaux, sexistes, ... | ||
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Pourquoi est-ce que le travail anti-oppressif est aussi critique? | |||
' | Nous avons été socialisés dans des cultures fondées sur des couches d'oppression. Nous perpétuons ce dans quoi nous avons été socialisés, à moins que des efforts actifs ne soient déployés pour apprendre et contrer les comportements, les situations et les idées néfastes qui étaient présents lorsque nous sommes nés dans ce monde. Nos actions oppressives nous divisent, diminuent de larges groupes de personnes et inhibent notre capacité à organiser des mouvements de grande envergure qui peuvent gagner.<br> | ||
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{{Conclusion}}<div class="center"><div class="floatnone">[https://creativecommons.org/licenses/by-nc/4.0/ ]</div></div><div style="text-align:center;">Ce contenu est mis à disposition selon les termes de la [https://creativecommons.org/licenses/by-nc/4.0/ Licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International].</div> |
Version du 8 mai 2023 à 12:32
«Pratiquer [un] travail d'anti-oppression [...], ce n'est pas seulement se confronter à des exemples individuels de sectarisme ou à des exemples sociétaux, c'est aussi se confronter à nous-mêmes et à nos propres rôles de pouvoir et d'oppression dans nos communautés et dans le contexte général » [1] . L'anti-oppression comprend la déconstruction des idées oppresives de la culture dominante qu'on a internalisées (sexisme, racisme, capacitisme, classisme, etc.).
De par les oppressions perpétuées par ces groupes (consciemment ou non), toutes les personnes ayant côtoyé des groupes dominants ont des biais racistes, coloniaux, sexistes, ...
Pourquoi est-ce que le travail anti-oppressif est aussi critique?
Nous avons été socialisés dans des cultures fondées sur des couches d'oppression. Nous perpétuons ce dans quoi nous avons été socialisés, à moins que des efforts actifs ne soient déployés pour apprendre et contrer les comportements, les situations et les idées néfastes qui étaient présents lorsque nous sommes nés dans ce monde. Nos actions oppressives nous divisent, diminuent de larges groupes de personnes et inhibent notre capacité à organiser des mouvements de grande envergure qui peuvent gagner.
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- ↑ Stephanie Jeremie, La Forge